Après une période estivale plus qu’ensoleillée par la présence de mes enfants, ma petit fille et mes ami.e.s j’ai pris le goût à me laisser porter au rythme de ce qui se présentait dans l’instant. J’ai vu le mois de septembre arriver, les agitations revenir et me suis alors, sentie décalée… pas dans le mouv’. L’élan de me bousculer, de programmer, d’anticiper n’était plus là. J’ai, alors, remis en question tout ce que j’avais en mis en place depuis des années et j’ai fini par conclure que tous mes projets mes réjouissaient mais c’était ma manière de faire qui n’avait plus de sens. Je devais changer ma façon de les aborder. Si je m’étais offert ce précieux cadeau d’être mon propre patron, je n’étais en rien obligé de m’enfermer dans cette spirale infernale de ” Je dois, il faut que …”. Passer à l’action, ne devait plus se faire en force mais dans la fluidité, comme l’accomplissement d’un désir, d’une envie du moment. J’ai testé, j’ai adopté ! Depuis tout me semble plus facile. Je ne sais pas toujours où l’élan me mène vraiment mais je découvre qu’il entraîne une action qui en entraîne une autre et une autre, pour au final constater que tout se déroule à la perfection.
Si nous lâchions les obligations et rentrions dans le désir de l’action, l’envie de concrétiser nos projets ?
Confronté.e à notre désir, des peurs probablement émergent, et c’est bien normal. Les accueillir, les embrasser me semble être la première étape pour que petit à petit notre liberté d’action prenne le dessus.
Où en es-tu dans tes projets ? Passes-tu à l’action ? De quelles manières ?